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Article (Scientific journals)

À quoi sert la “logique des sciences historiques” de Rickert ?

Dewalque, Arnaud

2010 • In Études Philosophiques, (1), p. 45-66

Peer reviewed

Permalink
https://hdl.handle.net/2268/87046

DOI
10.3917/leph.101.0045

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Keywords :

Heinrich Rickert (1863-1936); History (Philosophy of); Epistemology; Values (Theory of); Ontology; Neo-Kantianism; Wilhelm Windelband (1848-1915); Emil Lask (1875-1915); Foundation; Begründung; Histoire (Philosophie de l'); Epistémologie; Valeurs (Théorie des); Ontologie; Néokantisme; Fondation; Geschichte (Philosophie der); Erkenntnistheorie; Werte (Philosophie der); Neukantianism

Abstract :

[en] The goal of this article is to clarify the reasons why Rickert maintains the necessity to perform a logical analysis of historical sciences despite of the objection of « formalism » one has raised against him. Taking into account his opposition to the representatives of a merely ontological or « material » articulation of empirical sciences, I suggest that Rickert’s defence of a logical and « formal » approach simply means a provisional method whose purpose is not to eliminate all ontological considerations about historical objects, but rather to provide a critical grounding for such considerations by means of the « logical disjunction » between « generalizing sciences » and « individualizing sciences ». This method must finally indicate what is any historical object in the formal broadest sense of the term. It has therefore to ground, so to speak, a formal ontology of historical object.
[fr] Mon objectif est d’examiner les raisons qui ont poussé Rickert à affirmer la nécessité d’une analyse logique des sciences historiques en dépit du reproche de « formalisme » qui lui a été adressé. Revenant sur le débat qui l’oppose aux partisans d’une articulation purement ontologique ou « matérielle » des sciences empiriques, jesouligne que l’adoption d’un point de vue logique et « formel » a simplement chez lui la signification d’un procédé méthodique provisoire dont le but n’est pas de supprimer toutes considérations ontologiques sur les objets historiques, mais plutôt de fournir un soubassement critique pour de telles considérations à l’aide de la « disjonction logique » entre « sciences généralisantes » et « sciences individualisantes ». Ce procédé doit permettre, in fine, d’indiquer de façon formelle et suffisamment englobante ce qu’est un objet historique quelconque, donc de fonder, pour ainsi dire, une ontologie formelle de l’historique.

Research center :

Phénoménologies - ULiège

Disciplines :

Philosophy & ethics

Author, co-author :

Dewalque, Arnaud ; Université de Liège - ULiège > Département de philosophie > Phénoménologies

Language :

French

Title :

À quoi sert la “logique des sciences historiques” de Rickert ?

Alternative titles :

[en] What does Rickert's "logic of historical sciences" aim at?

Publication date :

2010

Journal title :

Études Philosophiques

ISSN :

0014-2166

eISSN :

2101-0056

Publisher :

Presses Universitaires de France, Paris, France

Special issue title :

Rickert et la question de l'histoire

Issue :

1

Pages :

45-66

Peer reviewed :

Peer reviewed

Commentary :

Texte remanié d'une communication faite aux Archives Husserl de Paris, sur une invitation de Marc de Launay (« La théorie de la science doit-elle procéder de manière formelle ou matérielle ? », communication à la Journée d’études "Philosophie de l’histoire", Archives Husserl, École Normale Supérieure, Paris, 23 mai 2008).

Available on ORBi :

since 10 March 2011

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Dans la mesure où cette question supplante la conception « spéculative » de l'histoire et est solidaire de la réorientation de la philosophie posthégélienne sur la « théorie de la connaissance » (Erkenntnistheorie), il est loisible de parler d'un «tournant gnoséologique» (erkenntnistheoretische Wendung) de la philosophie de l'histoire, cf. H. Schnädelbach, Philosophie in Deutschland, 1831-1933, Frankfurt/Main, Suhrkamp, 1983, p. 69
Selon Schnädelbach, ce « tournant gnoséologique » est principalement représenté par Droysen, Dilthey, Windelband et Rickert. Mais rien n'interdit de penser qu'il est préfiguré en amont. Cf. E. Bernheim, Lehr-buch der historischen Methode und der Geschichtsphilosophie, Leipzig, Duncker & Humblot, 31903, p. 162
W. Windelband, « Geschichte und Naturwissenschaft » (1894), rééd. dans Pràludien. Autfsàtze und Reden zur Philosophie und ihrer Geschichte, Bd. II, Tübingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 91924, p. 136-160
Rickert a explicitement reconnu sa dette à l'égard de ce texte, cf. surtout H. Rickert, Die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffsbildung. Eine logische Einleitung in die historischen Wissenschaften (désormais cité GnB), Tübingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 11902, p. 302 n
la note a été supprimée dans les éditions ultérieures, mais la référence à Win-delband est maintenue, cf. GnB, 51929, p. 269-270
W. Windelband, Geschichtsphilosophie. Eine Kriegsvorlesung. Fragment aus dem Nachlass, W(olfgang) Windelband et B. Bauch (éd.), Berlin, Reuther&Reichard, 1916 (Kantstudien Erg'dnzungshefte, 38), p. 34
W. Windelband, Einleitung in die Philosophie (désormais cité EiP), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1914, p. 333
W. Windelband, Geschichtsphilosophie., op. cit., p. 50
H. Rickert, GnB [1902, p. 13]
H. Rickert, « Geschichtsphilosophie », dans W. Windelband (éd.), Die Philosophie im Beginn des zwangzigsten Jahrhunderts. Festschrift für Kuno Fischer, Heidelberg, Carl Winter, 1907, p. 324-325
H. Rickert, « Geschichtsphilosophie » Die Philosophie im Beginn des zwangzigsten Jahrhunderts. Festschrift für Kuno Fischer Ibid., p. 325
W. Windelband, EiP, 1914, p. 332
Rickert, « Geschichtsphilosophie », art. cité, p. 326
Il s'agit littéralement, comme le note Lask (recension de la deuxième édition de GnB, dans Logos, VI [1913], p. 248), de «porter la vision-du-monde historique dans la conscience de la logique » (die historische Weltanschauung ins Bewufitsein der Logik bringen)
Cf. H. Rickert, Der Gegenstand der Erkenntnis. Einfùhrung in die Transzendentalphilosophie (désormais cité GE), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1928, p. 428
Pour la référence àFichte, cf. GnB, 1902, p. 15
H. Rickert, « Über die Aufgaben einer Logik der Geschichte », dans Archiv für systema-tische Philosophie, VIII/2 (1902), p. 142
trad. franç. A. Dewalque, dans le présent volume, p. 91
Cette division des tâches renvoie à la tripartition de la logique instaurée par Lotze. Celui-ci distinguait en effet, dans sa grande Logik de 1874, la logique « formelle » ou « pure », la logique « appliquée »-que Windelband et Rickert appellent « méthodologie »-et la « théorie de la connaissance »-pour laquelle Lotze employait de son côté le terme de « méthodologie ». Cf. H. Lotze, Logik. Erstes Buch. Vom Denken (Reine Logik), Hamburg, Meiner, 1989, § XI, p. 12-13
W. Windelband, Prinzipien der Logik (désormais cité PL), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1913, p. 16-17
trad. franç. É. Dufour, «Les principes de la logique », dans W. Windelband, Qu'est-ce que la philosophie ? et autres textes, Paris, Vrin, 2002, p. 197-198
W. Windelband, « Geschichte und Naturwissenschaft » (1894), art. cité, p. 139
Cf. le célèbre passage d'Aristote dans les Seconds Analytiques, I, 31
trad. franç. J. Tricot, Organon 4. Les seconds analytiques, Paris, Vrin, 2000, p. 147, 87 b 38-39 : « La science consiste dans la connaissance universelle » (ou, comme on traduit usuellement : « Il n'y a de science que du général »)
H. Rickert, «Über die Aufgaben einer Logik der Geschichte », art. cité, p. 163 (trad. franç., p. 107)
GE, 1928, p. 429
Je ne reviendrai pas ici sur la confrontation avec Dilthey. Pour un exposé synthétique de cette confrontation d'un point de vue diltheyen, on peut se reporter à S. Mesure, Dilthey et la fondation des sciences historiques, Paris, PUF, 1990, p. 141-167
W. Windelband, « Geschichte und Naturwissenschaft», Ibid., p. 144
Cf. H. Rickert, GnB, 1929, p. 322 (die Geschichte ist keine wertende, sondern eine wertbe-ziehende Wissenschaft) et surtout p. 329-337
Cf. W. Windelband, PL, p. 44 (trad. franç., p. 225)
Rickert « a le premier reconnu et développé ce moment dans sa complétude systématique »
Cf. M. Frischeisen-Köhler, « Über die Grenzen der naturwissenschaftlichen Begriffs-bildung (II) », dans Archiv für systematische Philosophie, XIII/1 (1907), p. 17
Cf. aussi A. Dyroff, « Zur Geschichtslogik (II) », dans Historisches Jahrbuch, 38 (1917), p. 43 (on doit à Rickert «le développement le plus pénétrant-parfois hyperpénétrant (uberscharfsinnig)-de l'idée de Windelband »)
R. Eucken, « Philosophie der Geschichte », dans P. Hinneberg, Die Kultur der Gegen-wart, Teil I/VI : Systematische Philosophie, Berlin-Leipzig, Teubner, 1907, p. 263
H. G. Gadamer, « Das Problem der Geschichte in der neueren deutschen Philosophie » (conférence de 1943), dans Kleine Schriften, Bd. I : Philosophie. Hermeneutik, Tübingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1967, p. 2
E. Trœltsch, «Moderne Geschichtsphilosophie », Theologische Rundschau, VI, 1904
rééd. dans Gesammelte Schriften, Bd. 2 : Zur religiösen Lage, Religionsphilosophie und Ethik, Aalen, Scientia, 1981 (reprint de 21922), p. 678
G. Mehlis, Lehrbuch der Geschichtsphilosophie, Berlin, Springer, 1915, p. 173
R. Kroner, « Geschichte und Philosophie », dans Logos, XII/1 (1923), p. 123
A. Miller-Rostowska (Das Problem der individualisierende Begriffsbildungbei Heinrich Rickert, Basel, 1955, p. 36-48)
Cf. G. Mehlis, Das Problem der individualisierende Begriffsbildungbei Heinrich Rickert, op. cit., p. 120-121
Cf. E. Bernheim, Das Problem der individualisierende Begriffsbildungbei Heinrich Rickert, op. cit., p. 1
W. Wundt, Einleitung in die Philosophie, Leipzig, Engelmann, 1901, p. 68
Leipzig, Krôner, 1922, p. 64-65
Cf. A. Riehl, « Logik und Erkenntnistheorie », dans P. Hinneberg (éd.), Die Kultur der Gegenwart, Teil I/VI : Systematische Philosophie, Berlin-Leipzig, Teubner, 1907, p. 101-102
E. Cassirer, Substanzbegriff und Funktionsbegriff. Untersuchungen uber die Grundlagen der Erkenntnis-kritik, Berlin, Cassirer, 1910,1923, p. 308-309
rééd. dans Gesammelte Werke. Hamburger Aus-gabe, Bd. 6, Hamburg, Meiner, 2000. L'argument principal contre l'opposition des méthodes est que les sciences de la nature et les sciences historiques participent d'une même scientifi-cité
Charlottenburg, Pan-Verlag, 1925, p. 20 («La logique de l'histoire est aussi une logique, exactement comme celle de la science de la nature, et cela ne signifie rien d'autre que ceci : la connaissance dans les sciences de la nature et la connaissance historique sont liées dans l'unité du logos »)
Cf. M. Frischeisen-Köhler, Charlottenburg, Pan-Verlag, art. cité, p. 18-19
E. Becher, Geisteswissenschaften und Natur-wissenschaften. Untersuchungen zur Theorie und Einteilung der Realwissenschaften, Berlin, Duncker &Humblot, 1921, p. 215
Becher reconnaît toutefois à Windelband et Rickert un «mérite » important : celui d'avoir défendu le bien-fondé d'une « science de l'individuel » contre l'ancien préjugé aristotélicien d'après lequel il n'y a de science que du général. Cf. E. Becher, « Erich Becher », dans R. Schmidt (éd.), Die Philosophie der Gegenwartin Selbstdarstellungen, Bd. I, Leipzig, Meiner, 1923, p. 34 (paginationindividuelle de l'article : p. 14)
cf. PL, p. 41 (trad. franç. mod., p. 222)
EiP, 1914, p. 242
Cf. H. Maier, Das historische Erkennen, Göttingen, Univ-Buchdruckerei, 1914, p. 15-18
surtout E. Becher, Das historische Erkennen, op. cit., p. 200 sq
Voir notamment A. Grotenfelt, « Über Wertschätzung in der Geschichtsbehand-lung», dans Archiv für Philosophie, II. Abteilung: Archiv für systematische Philosophie, VIII/1 (1902), p. 60-61
F. Kaufmann, Geschichtsphilosophie der Gegenwart, Berlin, 1931, p. 34 sq
F. Meinecke, «Kausalität und Werte in der Geschichte », dans Historische Zeitschrift, 137 (1928)
rééd. dans F. Meinecke, Id., Werke, Bd. IV : Zur Theorie und Philosophie der Geschichte, E. Kessel (éd.), Stuttgart, Koehler, 1959, p. 68-69
Cf. R. Aron, Essai sur la théorie de l'histoire dans l'Allemagne contemporaine. La philosophie critique de l'histoire, Paris, Vrin, 1938 = 1950
rééd. sans changements sous le titre La philosophie critique de l'histoire. Essai sur une théorie allemande de l'histoire, Paris, Vrin, 1964
Cf. K. Sternberg, Essai sur une théorie allemande de l'histoire, op. cit., 1914, p. 11-13
Cf. exemplairement H. G. Gadamer, Essai sur une théorie allemande de l'histoire, art. cité, p. 3
H. Rickert, Kulturwissenschaft und Naturwissenschaft (désormais cité KuN), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1926, p. 10
trad. franç. A.-H. Nicolas, Science de la culture et science de la nature, Paris, Gallimard, 1997, p. 33
L'objection de Lask résume bien cette idée, cf. « Zum System der Wissenschaften », dans Gesammelte Schriften (désormais cité GS), Bd. III, E. Herrigel (éd.), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1924, p. 269
Cf. par ex. E. Troeltsch, « Die Geisteswissenschaften und der Streit um Rickert. Aus Anlaβ von Erich Becher, Geisteswissenschaften und Naturwissenschaften », dans Schmollers Jahrbuch, 46/1 (1922), p. 40
» Cf. aussi KuN, 1926, p. 15 (trad. franç., p. 38)
« Geschichte und System der Philosophie », dans Archiv fur Geschichte der Philosophie, 40 (1931)
rééd. dans Philosophische Aufsàtze, R. A. Bast (éd.), Tubingen, J. C. B. Mohr (Paul Siebeck), 1999, p. 236
H. Rickert, KuN, 1926, p. 56 n. (trad. franç., p. 88 n.)
Cf. aussi H. Rickert, « Ges-chichtsphilosophie», art. cité, p. 331
H. Rickert, « Geschichte und System der Philosophie », art. cité, p. 236
J ai suggéré cette filiation dans « Heidegger, auditeur de Rickert. Le problème du sens », dans Études phénoménologiques, 45-46 (2007), p. 175-203
Cf. H. Holzhey, W. Röd, Die Philosophie des ausgehenden 19. Und des 20. Jahrhunderts, Bd. 2 : Neukantianismus, Idealismus, Realismus, Phànomenologie, München, Beck, 2004, p. 101
E. Spranger, Die Grundlagen der Geschichtswissenschaft. Eine erkenntnistheoretisch-psycholo-gische Untersuchung, Berlin, Reuther &Reichard, 1905, p. 9 n
E. Troeltsch, « Die Geisteswissenschaften und der Streit um Rickert. », art. cité, p. 60
cf. H. Schnädelbach, Die Geisteswissenschaften und der Streit um Rickert, op. cit., p. 69-70
M. Frischeisen-Köhler, Die Geisteswissenschaften und der Streit um Rickert,. art. cité, p. 18
E. Lask, « Zum System der Wissenschaften », GS, III, p. 268
R. Aron, Zum system der wissenschaften, op. cit., 1964, p. 143 : puisque Rickert admet une distinction métaphysique, « peu importe qu on parte de l objet ou du sujet »
Cf. R. Hônigswald, « Zur Wissenschaftstheorie und-systematik. Mit besonderer Rücksicht auf Heinrich Rickerts "Kulturwissenschaft und Naturwissenschaft" », dans Kant-Studien, XVII (1912), p. 32-33
On peut naturellement se demander s'il ne faut pas renoncer à parler de « concept », puisque le propre d'un concept est justement de valoir pour plus d'un individu. Cette critique a notamment été adressée à Rickert par D. Michaltschew, Philosophische Studien. Beitràge zur Kritik des modernen Psychologismus, Leipzig, Engelmann, 1909, p. 454 sq
Je renonce ici à un examen détaillé de la notion de « concept individuel » chez Rickert. Outre les développements qu'y a consacrés Miller-Rostowska (op. cit.), une étude complète devrait certainement renvoyer, entre autres, à R. H. Lotze, Logik. Erstes Buch, op. cit., § 26, p. 44
H. Rickert, « Geschichtsphilosophie », art. cité, p. 331
Cf. Ch. Krijnen, Nachmetaphysischer Sinn. Eine problemgeschichtliche und systematische Studie zu den Prinzipien der Wertphilosophie Heinrich Rickerts, Würzburg, Kônigshausen&Neumann, 2001, p. 296
M. Heidegger, « Der Zeitbegriff in der Geschichtswissenschaft », Zeitschrift für philosophie und philosophische Kritik, 161 (1916), p. 173-188
rééd. dans Gesamtausgabe, Bd. I : Frühe Schriften, Frankfurt/Main, Klostermann, 1978, p. 416-417 (358-359)
E. Troeltsch, « Über den Begriff einer historischen Dialektik. Windelband-Rickert und Hegel », dans Historische Zeitschrift, 119 (1919), p. 375
G. Mehlis, Historische Zeitschrift, op. cit., p. 513
E. Troeltsch, Der Historismus und seine Probleme, Premier livre (seul paru) : Das logische Problem der Geschichtsphilosophie, dans Gesammelte Schriften, Bd. 3, Aalen, Scientia Verlag, 1977 (2e reprint de 1922),p. 225

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